Soirée PARTA G#2

〓 Date & Horaire 〓
Jeudi 16 octobre à 20h
〓 Tarif 〓
10€
Billetterie en ligne & sur place.
► Je réserve
La soirée PARTA G#2 réuni trois propositions performatives mêlant arts plastiques, sonores et participatifs.
Avec: Natacha Nicora – Katalin Patkaï – Camille Guibert


Voiture de stars, de gangsters et de fantasmes publicitaires, la Mercedes 190 SL devient ici le point de départ d’une exploration poétique et urbaine, où les stéréotypes de genre, de classe et de pouvoir sont tournés, retournés et détournés. 190 SL convoque cette icône automobile des années 50 pour interroger les imaginaires liés au luxe et à la réussite
Katalin Patkaï : Chorégraphie, mise en scène
Aude Lachaise : Interprétation
Christophe Imbs – Musique
Remerciements pour l’engagement et l’investissement à l’entreprise Mannes et particulièrement à son directeur général Philippe Mannes


Frères, sœurs,
La fin du monde est proche, ce n’est pas une nouvelle. Mais aujourd’hui, une vérité vous est révélée.
Le changement radical est entre VOS mains !
Oui, en adoptant une tuile, vous devenez acteur de cette nouvelle ère transformatrice !
Vous ne serez plus seul·e. Vous rejoindrez enfin les rangs des Justes.
Car la tuile n’est pas un simple objet.
Elle est le symbole.
Le symbole du toit, de l’abri, de notre maison commune.
Et en portant cette maison, notre maison, nous pouvons bâtir ensemble la Maison de Tous.
Cette maison, que nous avons déjà commencé à construire, pas à pas, dans la foi, dans l’union, à notre image et à notre ressemblance.
Le 16 octobre, n’est pas une simple date.
C’est peut-être la fin.
Mais c’est peut être aussi une nouvelle genese.
Ne manquez pas votre Révélation.
Le 16 octobre, ouvrez les yeux. Le 16 octobre, choisissez de changer le monde.
TOUT EST ENTRE NOS MAINS

Camille Guibert convoque un corps traversé, bouleversé, habité.
Porté par la musique live, le souffle, la danse, les costumes sacrés et les images d’archives projetées, il interroge, dans une transe spectaculaire, notre rapport au corps, au pouvoir, et à ce que la société choisit de contenir, de faire disparaître ou de taire.
Camille Guibert : Chorégraphie, Interprétation
Pierre Pradier : Musique
Margot Fréret : Costume
Élouise Royannais : Lumières
Visuels :
Katalin Patkaï @Rafael Perez
Teja I @Natacha Nicora
SYF 4 Juillet 2025 Le Générateur @Bernard Bousquet
Katalin Patkaï

Katalin Patkaï
Katalin Patkaï a obtenu son diplôme de scénographe à l’École Nationale Supérieure des Arts Décoratifs de Paris. Elle travaille d’abord comme scénographe auprès des chorégraphes Arco Renz, Marion Ballester et Marie-Jo Faggianelli, puis avec ses propres pièces : Spatialisation sonore pour un danseur (2002), qui soude sa collaboration avec Ugo Dehaes. Elle s’engage dans la danse avec le projet que lui confie le scénographe Pierre Jorge Gonzalez, auprès du chorégraphe Arno Renz au Centre de Danse flamand d’Anne Teresa de Keersmaeker (Rosas). Puis, de sa rencontre avec l’artiste pluridisciplinaire Yves-Noël Genod, naît C’est pas pour les cochons (2009). En 2013, suite à la naissance de ses deux fils, elle entreprend MILF. En 2015, suit Remous, pièce pour les tout petits, elle poursuit avec l’enfance dans la pièce HS de manière plus intimiste avec son propre enfant.
En 2008, Daniel Larrieu remet à Katalin Patkaï le prix SACD du Nouveau talent chorégraphique. Elle est interprète pour les chorégraphes Marie-Jo Faggianelli, Isabelle Esposito, Erika Zueneli, Eric Arnal Burtschy. Elle est diplômée de l’école de Yoga EFAY.
Katalin Patkaï collabore avec le Générateur depuis plus de dix ans, où elle a montré plusieurs de ses pièces et participé à des initiatives collectives comme Les 24h de la parformance en 2015.
Camille Guibert, Pierre Pradier, Margot Fréret, Élouise Royannais
Camille Guibert, Pierre Pradier, Margot Fréret, Élouise Royannais
Camille Guibert – Direction artistique, Chorégraphie, Interprétation (28 ans)
Après une licence en arts du spectacle à l’Université de Poitiers et la découverte de la danse contemporaine, il participe à la création et à l’interprétation de différents spectacles avec Gaëlle Bourges, Mickaël Phelippeau, Jonathan Drillet et Marlène Saldana.
Engagé sur la voie de la transe après une première initiation chez les Bwiti au Cameroun, il poursuit ce travail dans le cadre d’un master recherche et création à l’Université Bordeaux Montaigne pour lequel il met en scène son premier spectacle avec 5 interprètes. Il part ensuite au Togo puis au Bénin pour faire une ethnographie des danses de possession vodou qui deviennent le sujet de sa thèse de doctorat à l’EPHE Paris pour laquelle il obtient un contrat doctoral. Au second semestre 2024, il donne, dans cette institution, un cycle de séminaires sur le corps en transe. Il organise aussi des ateliers d’initiations en France et à l’étranger, ainsi que des expositions dont une à la Galerie de la Goutte d’Or regroupant une dizaines d’artistes de toutes horizons, en avril 2022. Il collabore avec Shenna Rochas et Clémentine Chaperon pour la mise en image de ses expérimentations. Il continue de se former en danse contemporaine, danse traditionnelle française, gwoka, krump et house.
Pierre Pradier – Conception musicale, interprétation (28 ans)
Il est guitariste interprète, improvisateur et compositeur. Après des études scientifiques à l’Université René Descartes, il se consacre entièrement à l’étude de la musique, au CNSMD de Paris. Il y étudie la guitare classique, la guitare électrique, l’improvisation générative et les nouvelles technologies appliquées à la composition. Il étudie, en parallèle, la composition instrumentale au Conservatoire à rayonnement régional de Boulogne Billancourt. Sa personnalité musicale, notamment inspirée par les répertoires contemporain, free jazz, rock, expérimentale, s’exprime dans les domaines de la création musicale, la performance artistique, le théâtre, la vidéo. En 2023, il participe notamment au concert de lancement du Festival de musique contemporaine Ensemble(s) dans la création, avec l’ensemble 2e2m, de la composition pour ensemble instrumental Zones de Jean-Luc Hervé. Il prend part à une tournée de représentations de la pièce Street Art mêlant la création musicale, le free-running et la danse avec l’ensemble Les Apaches ainsi que les free-runners Simon Nogeira et Andrea Catozzi. Il collabore avec le plasticien Marc Lochner dans la composition et la création, à l’orgue, d’une pièce pluridisciplinaire nommée Lumen et compose la musique du court-métrage Le Foyer, réalisé par Zoé Bernardi. Fruit d’une résidence de deux ans à la Cité internationale des arts de mars 2022 à mars 2024, Pierre collabore très activement avec le compositeur espagnol Manuel Hidalgo Navas et avec la réalisatrice finlandaise Nina-Maria Oförsagd.
Margot Fréret – Conception Costume (29 ans) Elle travaille sur des projets de spectacles, opéras, comédies musicales, longs-métrages, séries et court-métrages. En parallèle de sa formation initiale en psychomotricité, elle pratique la danse contemporaine au sein de la compagnie universitaire de Bordeaux Montaigne. Elle y rencontre de nombreuses personnes avec qui elle collabore sur différents projets artistiques. Elle s’investit notamment pendant 4 ans au sein du collectif de performance CommentC’estMaintenant?. C’est en explorant l’art de la performance qu’elle découvre son attrait pour l’expérimentation avec les vêtements et les textiles. Elle se forme alors à la couture pour en acquérir les bases techniques et approfondir l’exploration de ce médium. Elle suit ensuite une formation costume à la Générale, où elle rencontre plusieurs costumières avec qui elle travaille depuis sur différents projets, en tant qu’assistante, costumière, habilleuse ou couturière. Elle aime collaborer sur des projets artistiques expérimentaux, traverser des univers variés et chercher à accompagner les créateurices et les interprètes à trouver leurs costumes.
Élouise Royannais – Conception Lumière (29 ans) Elouise naît à Marseille, où elle s’intéresse tôt à l’art et au spectacle vivant. Elle se tourne vers des études artistiques dans le cinéma et les arts de la scène, elle y apprend notamment la mise en scène, le jeu et découvre surtout les métiers de la technique de spectacle. En 2020, elle commence une collaboration avec le collectif d’artistes plasticiens Les Pas Perdus au sein de l’Usine Pillard. Elle se forme à la menuiserie et à la construction dans un contexte de création. Toujours envieuse de se professionnaliser dans les arts vivants et d’approfondir les métiers techniques, elle débute une formation de régisseuse technicienne du spectacle à Bruxelles. En alternance au Théâtre 140 et à la Raffinerie – Charleroi Danse elle trouve son médium, la lumière, qu’elle ne cesse d’explorer depuis. Elle commence la création lumière auprès des artistes musiciennes Dorothy Gale et Julie Rains, et travaille avec la compagnie Abis et le chorégraphe
Natacha Nicora
Natacha Nicora
Natacha Nicora est née en 1980 en Argentine, où elle étudie la danse classique et contemporaine. Elle emménage en Belgique en 1997 et continue sa formation de danseuse.
En 1999, elle démarre sa carrière professionnelle qu’elle partage entre la danse et le théâtre, en collaboration avec d’autres artistes ou en développant ses projets personnels, des projets hybrides de “poésie trash”.
Au tournant des années 2000, et pendant deux ans, elle travaille avec Les ballets C de la B sous la direction d’Alain Platel et Arne Sierens. Elle développe une longue collaboration avec Manah Depauw et joue notamment dans l’une de ses créations au Kunstenfestivaldesarts en 2004. Pendant 10 ans, elle joue aussi avec le groupe Toc sous la direction artistique d’Anne Thuot qui met en scène les textes de Marie Henry. Aujourd’hui, elle performe dans l’espace public avec Xtnt.
Depuis 2002, elle développe également ses projets personnels, des performances seule ou en collaboration : « Cronopios sin famas », « Calamar-a-te », « Solo – Sola ? », « Übernatürliche Pizza » avec le musicien Maxime Bodson et « Uff !! (la fin) ». Des projets danse et théâtre mais ausi des incursions dans les arts visuels, comme ceux qu’elle développe avec Beata Szparagowska et Sabrina Montiel Soto.
Récemment, elle a participé à la traduction de pièces de Rafael Spregelburd : « La Modestia » avec le collectif Transquinquennal et « La Estupidez » avec le groupe flamand Tristero.
Curieuse des questions pédagogiques, elle est praticienne de la méthode Feldenkrais ; elle est aussi régulièrement sollicitée par la section théâtre de l’INSAS à Bruxelles.
[ frasq ], rencontre de la performance #17
